Dans le fond, plutôt que de publier nos états d’âme sur Facebook ou autre média social, que ce soit une simple réplique, un partage d’article ou un souvenir important, l’on devrait toujours le publier à endroit où nous avons le contrôle de nos archives, ou du moins, à un endroit où les données données sont sauvegardées par autre chose qu’une compagnie qui analyse systématiquement ce que l’on publie pour cibler nos comportements pour les revendre au plus offrant, optimisant sans cesse ces algorithmes pour nous tenir plus captif et engrangeant les milliards de profit.
On devrait aussi inciter à amis à faire de même.
Si ça t’intéresse de faire pareil, c’est par ICI :